Le – la directeur·trice

  • veille à cette bonne répartition des tâches entre chacun,
  • planifie les investissements qui permettent de diminuer les consommations, en faisant appel à un audit externe, si nécessaire,
  • fournit des équipements de mesure à son responsable technique,
  • intègre le développement durable dans le projet d’établissement, et la formation à l’énergie dans les thèmes des journées pédagogiques,
  • peut mettre en place un mécanisme de mobilisation des élèves qui utilise l’économie réalisée pour financer une initiative de leur choix (programme fifty-fifty).
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L’ économe

  • Recense les consommations (dans un logiciel qui corrige les consommations de chauffage en fonction du climat),
  • les compare aux consommations des années précédentes,
  • les compare aux ratios du secteur,
  • informe le directeur et le responsable technique de l’évolution des consommations (copie mensuelle pour les consommations de chauffage au technicien, copie annuelle au directeur),
  • a un regard énergétique lors de tout achat de matériel.

Le·la responsable technique 

  • veille au bon réglage de la programmation des équipements pour qu’un maximum de choses soient coupées la nuit, le week-end et les vacances, soit 75% du temps (chauffage, extracteurs sanitaires, distributeurs de boissons chaudes et froides, ordinateurs, imprimantes, photocopieuses, …),
  • assure que la température soit de 20° dans les locaux en période d’occupation,
  • transmet des propositions d’amélioration au directeur.
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L’enseignant·e

  • intègre l’énergie de l’école dans son programme de formation, lorsque c’est opportun, comme activité mobilisatrice ou comme exemple d’application,
  • veille à limiter la consommation dans sa classe (chauffage, éclairage, équipements électriques multimédias), éventuellement via une charge énergie confiée aux élèves.
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L’éducateur·trice

  • intègre l’énergie de l’école dans les messages éducatifs qu’il transmet aux élèves,
  • veille à limiter la consommation dans les lieux collectifs (couloirs, réfectoire …).

Le coordinateur-énergie ou l’équipe-énergie 

  • re-stimule chacun lorsqu’il oublie l’énergie et lui reprécise son rôle,
  • analyse les dysfonctionnements éventuels dans la répartition des tâches,
  • organise un audit participatif avec les élèves afin de repérer les faiblesses dans la gestion quotidienne de l’énergie et proposer des améliorations pour y remédier,
  • anime des campagnes de redynamisation de l’ensemble des occupants, élèves compris.
  • Propose des actions qui vont au-delà du « bon fonctionnement quotidien » … pour aller vers le zéro énergie !